Le train de ce monde, dirigé par le dieu de ce siècle, prince du monde

par **Sσρhiα** Lun 31 Juil 2023 - 12:37

Salut à tous,

Le monde est dirigé dans son ensemble par des conducteurs aveugles, l'homme est assis sur la branche de l'arbre qu'il est en train de scier et s'il en a pris conscience, il se révèle cependant dans l'incapacité de faire marche arrière, car la marche arrière implique un changement radical de conduite engendrant le renoncement à sa manière de vivre et de consommer. Le dieu de ce siècle, le prince de la puissance de l'air, dirige le train de ce monde, selon l'esprit qui agit dans les fils de la rébellion, ceux qui sont dans "l'avoir" et non dans "l'être", ceux pour lesquels la planète terre et ses ressources ne suffisent pas à combler le train de vie pour une année de consommation (appelé jour du dépassement). La terre est en surpopulation, quoiqu'il en soit, avec ses conséquences : épuisement des ressources naturelles, dégradation de l’environnement, conflits et guerres, augmentation du chômage et coût de la vie élevé, pandémies et épidémies, malnutrition et famine, pénurie d'eau. L'eau est la ressource la plus précieuse sur terre : la surpopulation mondiale pourrait entraîner des conflits généralisés liés à celle qui a été nommée l'or bleu. L'eau est l'une des principales causes des tensions au Proche-Orient, à l'heure actuelle, 80 pays manquent d'eau et une personne sur cinq n'a pas accès à l'eau potable. C'est le constat en ce temps.

Comme l'a écrit Paul aux Corinthiens, seconde lettre chapitre 4 : "nous avons rejeté les choses honteuses qu'on cache, ne nous conduisant point avec artifice, et ne falsifiant point la parole de Dieu, mais nous recommandant nous-mêmes auprès de toute conscience d'homme devant Dieu, par la manifestation de la vérité. Que si notre Évangile est voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, Pour les incrédules, dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'esprit, afin qu'ils ne soient pas éclairés par la lumière du glorieux Évangile de Christ, qui est l'image de Dieu. Car nous ne nous prêchons pas nous-mêmes, mais nous prêchons Jésus-Christ le Seigneur; et pour nous, nous sommes vos serviteurs, à cause de Jésus. Car le Dieu qui a dit que la lumière resplendisse au milieu des ténèbres, est celui qui a resplendi dans nos coeurs, pour faire briller la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu en la personne de Jésus-Christ".

Or il est bien écrit en toutes lettres, dans le livre de l'apocalypse en 11, que le Seigneur Dieu tout-puissant détruira ceux qui détruisent la terre, c'est à double sens, car chacun de nous en son être tout entier est semblable à une terre et son eau dont la chair et le sang sont l'image, ancienne ou nouvelle, mais la nouvelle a reçu une source d'eau inépuisable dont le Feu (l'Esprit) est l'Epoux, le mariage du feu et de l'eau réconciliés et unis, un. Nos nouveaux corps, glorifiés, sont ainsi Lumière, incorruptibles.

"16 Les vingt-quatre anciens qui étaient assis devant Dieu sur leur trône se prosternèrent, le visage contre terre, et ils adorèrent Dieu en disant: «Nous te remercions, Seigneur Dieu tout-puissant, toi qui es et qui étais, parce que tu as exercé ta grande puissance et établi ton règne. Les nations se sont irritées, mais ta colère aussi est venue; voici le moment de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, petits et grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre.» Alors le temple de Dieu qui est dans le ciel fut ouvert et l'arche de son alliance apparut dans son temple". Apocalypse 11, l'arche de son alliance, nous sommes le temple du Dieu Vivant : entrent dans l'Arche les nés de nouveau de Dieu, d'eau et d'Esprit (car Lui le Seigneur, nous a baptisés d'Esprit Saint et de feu), ce sont ceux qui sont enlevés dans "les airs" à sa rencontre dont a parlé Paul, 1 Thessaloniciens 4:17 "Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs (aer), et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur".

Et l'air de ce monde devient étouffant, des témoignages dont l'un :

"On perçoit la température différemment mais là, il a fait jusqu'à 48°C. J'avais l'impression d'étouffer, c'était dur de respirer. Quand je sortais à 8 heures, le thermomètre de la voiture affichait déjà 38°C. Mes habitudes ont un peu changé, j'ai pris trois fois plus de douches" par Hanane, habitante d'Alger à franceinfo.

Les habitudes changent, mais pas dans le bon sens...

L'ensemble ici, info du jour :
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par **Sσρhiα** Lun 18 Sep 2023 - 13:35

Bonjour à ceux qui liront,

Comme l'indique le titre de ce topic : "Le train de ce monde, dirigé par le dieu de ce siècle, prince du monde", faire dire à l'Evangile ce qu'il ne dit pas explicitement fait partie du train de ce monde, de ceux qui ne sont pas à l'écoute du Seigneur Jésus, qui ne l'entendent pas ou qui font taire son Saint Esprit.

Pourquoi depuis des siècles, les religions disent-elles que le disciple qui a pris la mère de Jésus chez lui après sa crucifixion est Jean ? Où est-ce écrit ? C'est typiquement faire dire à l'Evangile de Christ ce qu'il ne dit pas pour satisfaire sa propre convoitise. Car voici les versets en question, chapitre 19, 25 à 27, version Darby, dans l'évangile qui lui est attribué :

"Or, près de la croix de Jésus, se tenaient sa mère, et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus donc voyant sa mère, et le disciple qu'il aimait se tenant là, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple: Voila ta mère. Et dès cette heure-là, le disciple la prit chez lui" ;

version traduite des textes en araméen :

"Elles se tenaient debout auprès de la croix de Yéchou' : sa mère, et la soeur de sa mère, Maryam, celle de Qléyâphâ, et Maryam Magdelâïtâ. Et Yéchou' vit sa mère, et présent, le disciple qu'il aimait. Et il dit à sa mère : femme, voici ton fils. Et il dit à ce disciple : voici ta mère. Et depuis cette heure là, ce disciple l'emmena chez lui" ;

version Chouraqui :

"Se tiennent près de la croix de Iéshoua‘ sa mère, la soeur de sa mère, Miriâm, celle de Clôpas, et Miriâm de Magdala. Iéshoua‘ voit donc la mère, et près d’elle l’adepte qu’il aime. Il dit à la mère: « Femme, voici ton fils. » Ensuite, il dit à l’adepte: « Voici ta mère. » Et, depuis lors, l’adepte la prit chez lui".

Il y a trois femmes qui se tiennent auprès de la croix, aucun homme n'est mentionné, cet Evangile est précis, son auteur indique de quelle Maryam il s'agit : sa mère, puis celle de Clopas, et celle de Magdala, de plus, il suffit de lire le dernier chapitre de cet évangile pour le constater, ce passage qui indique précisément de quel disciple son auteur parle : "Pierre, se retournant, voit suivre le disciple que Jésus aimait, qui aussi, durant le souper, s'était penché sur sa poitrine, et avait dit: Seigneur, lequel est celui qui te livrera ?".

Soyons honnêtes, s'il s'agissait d'un autre disciple, il aurait été mentionné auprès de la croix, comme les trois Marie l'ont été, un ajout aurait été fait le précisant, tel que : et près des trois femmes, se tenait aussi l'autre disciple que Jésus aimait, celui qui s'était penché sur sa poitrine durant le souper de la Paque. L'auteur ne le cite pas nommément pour une raison qui lui appartient et que lui seul (et le Seigneur Dieu) connaissait lors de sa rédaction.

Jésus, en disant "voici ton fils" peut se désigner lui-même, montrer à sa mère qu'elle n'a plus de fils, il s'en va, il rend l'esprit à son Père, "voit ton fils, il est mourant à la chair, il verse son sang pour le salut du monde", et indiquer une dernière volonté, la confiant à ce disciple, ce qu'il disait ne venait pas de lui mais du Père en lui. Mais aussi, parce que pour lui, tous ceux qui l'ont suivi sont fils de Dieu. Un disciple de Jésus, c'est celui qui l'a suivi en renonçant à lui-même, à sa propre volonté, à sa propre vie, ainsi à ses propres interprétations, qu'il soit homme ou femme car en Christ il n'y a ni hommes ni femmes, sinon il ne peut être son disciple (il peut le prétendre, mais le Seigneur connait les siens).

Le Seigneur Dieu nous révèle toutes choses au temps convenable lorsque c'est en Lui que nous avons placé notre foi, la Vérité de Dieu n'est pas celle des hommes, toutes ces choses seront dévoilées au monde entier en Son Jour et gloire à Dieu qu'il en soit ainsi, le Jour du Seigneur sera un jour terrifiant pour ceux qui ont fait de la Parole de Dieu ce qu'ils ont voulu au détriment de Sa Vérité. Jésus n'aurait aimé que des hommes ? l'Evangile nous prouve que non, Il est le Sauveur de tous ceux qui ont cru en lui, sans faire acception de personnes, en Christ, tous sont fils de Dieu par la foi en lui, l'accès à la grâce de Dieu et aux révélations, par la Gloire qu'il donne à chacun, qui vient de Lui, de gloire en gloire, tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Christ, l'Esprit de Dieu, sont fils de Dieu, dans le Royaume de Dieu, nous sommes comme les anges de Dieu. Il y a plusieurs disciples que Jésus aimait, c'est une évidence, Jean en était, Pierre aussi, Jacques aussi, et les autres, car ce n'est pas eux qui l'ont choisi, mais Lui qui les a choisis, comme nous tous : c'est Lui qui nous attire à Lui.

par **Sσρhiα** Ven 29 Sep 2023 - 13:12

Salut à ceux qui liront,

Ananias et Saphira sont le modèle qui nous a été donné dès le début du Christianisme, en contraste avec Barnabas, nous montrant ce qu'est la véritable conversion à Dieu, celle de ceux qui ont cru et elle vient du coeur, un coeur pur dans l'amour du prochain comme soi-même, dénué d'intentions trompeuses. Dans le contexte, fin d'actes 4 et début du 5 :

"Et la multitude de ceux qui avaient cru était un coeur et une âme; et nul ne disait d'aucune des choses qu'il possédait, qu'elle fût à lui; mais toutes choses étaient communes entre eux. Et les apôtres rendaient avec une grande puissance le témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus; et une grande grâce était sur eux tous. Car il n'y avait parmi eux aucune personne nécessiteuse; car tous ceux qui possédaient des champs ou des maisons les vendaient, et apportaient le prix des choses vendues, et le mettaient aux pieds des apôtres; et il était distribué à chacun, selon que l'un ou l'autre pouvait en avoir besoin.
Et Joseph qui, par les apôtres, fut surnommé Barnabas (ce qui, étant interprété, est fils de consolation), Lévite, et Cypriote de naissance, ayant une terre, la vendit, et en apporta la valeur, et la mit aux pieds des apôtres.
Mais un homme nommé Ananias, avec Sapphira sa femme, vendit une possession, et, de connivence avec sa femme, mit de côté une partie du prix, et, en apportant une partie, la mit aux pieds des apôtres. Mais Pierre dit : Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton coeur, que tu aies menti à l'Esprit Saint et que tu aies mis de côté une partie du prix de la terre? Si elle fût restée non vendue, ne te demeurait-elle pas ? Et vendue, n'était-elle pas en ton pouvoir ? Comment t'es-tu proposé cette action dans ton coeur ? Tu n'as pas menti aux hommes, mais à Dieu. Et Ananias, entendant ces paroles, tomba et expira. Et une grande crainte s'empara de tous ceux qui entendirent ces choses. Et les jeunes hommes, se levant, le couvrirent, et l'ayant emporté dehors, l'ensevelirent.
Et il arriva, environ trois heures après, que sa femme, ne sachant pas ce qui était arrivé, entra; et Pierre lui répondit: Dis-moi, avez-vous donné le champ pour tant ? Et elle dit: Oui, pour tant. Et Pierre lui dit: Comment êtes-vous convenus entre vous de tenter l'Esprit du Seigneur ? Voici, les pieds de ceux qui ont enseveli ton mari sont à la porte, et ils t'emporteront aussi. Et à l'instant elle tomba à ses pieds et expira. Et les jeunes hommes, entrant, la trouvèrent morte; et ils l'emportèrent dehors et l'ensevelirent auprès de son mari. Et une grande crainte s'empara de toute l'assemblée et de tous ceux qui entendaient parler de ces choses.
Et beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient parmi le peuple, par les mains des apôtres; (et ils étaient tous d'un commun accord au portique de Salomon; mais, d'entre les autres, nul n'osait se joindre à eux, mais le peuple les louait hautement; et des croyants d'autant plus nombreux se joignaient au Seigneur, une multitude tant d'hommes que de femmes;) de sorte qu'on apportait les infirmes dehors dans les rues, et qu'on les mettait sur de petits lits et sur des couchettes, afin que, quand Pierre viendrait, au moins son ombre passât sur quelqu'un d'eux. Et la multitude aussi des villes d'alentour s'assemblait à Jérusalem, apportant les infirmes et ceux qui étaient tourmentés par des esprits immondes; et ils étaient tous guéris".

Pierre est puissamment rempli d'Esprit Saint au point qu'il sait qu'Ananias et Saphira lui ont menti, non pas à lui, Pierre, et aux hommes, mais à Dieu, au Véritable, au Seigneur Jésus, le Dieu véritable. Ils ont péri, comme il l'avait annoncé d'avance, tel que nous le lisons en Luc 13, et là, je prends la version Segond 21 à cause des termes qui indiquent ce que signifie se repentir ainsi se convertir, changer d'attitude :

"A ce moment-là, quelques personnes qui se trouvaient là racontèrent à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mélangé le sang avec celui de leurs sacrifices. Jésus leur répondit: «Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont subi un tel sort ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous de même. Ou bien ces 18 personnes sur qui la tour de Siloé est tombée et qu'elle a tuées, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous de même.»

Changer d'attitude : revenir vers Dieu d'un coeur sincère et dénué de perversité car c'est du coeur de l'homme que tout vient, les bonnes ou les mauvaises attitudes, la sincérité d'intentions ou le mensonge et l'hypocrisie dissimulés. Nul ne peut tromper Dieu qui regarde aux coeurs et les sonde, connait les intentions de chacun, pures ou impures. En parcourant le net, j'y ai vu que certains se demandent de quoi (ou comment) sont morts Ananias et Saphira, or en mentant à Dieu, ils ont ouvert la porte de leur coeur à Satan. Le principe est simple, le péché, étant consommé, engendre la mort (immédiate ou pas), Jacques l'a écrit :

"Heureux est l'homme qui endure la tentation; car après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie que le Seigneur a promise à ceux qui l'aiment.
Que personne ne dise, lorsqu'il est tenté: C'est Dieu qui me tente; car Dieu ne peut être tenté par le mal, et lui-même ne tente personne. Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Et après que la convoitise a conçu, elle enfante le péché; et le péché étant consommé, engendre la mort" ;

ainsi comme l'a dit Jésus "si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous", il n'y a pas de plus grands pécheurs que d'autres mais il y a un péché qui conduit à la mort, et Dieu ne tente lui-même personne, il délivre du mal ceux qui se convertissent du coeur et de la bouche, changent d'attitude et naissent de nouveau de Lui, et une grande grâce repose sur tous ceux qui ont enduré la tentation, celle du diable qui nous réclame pour nous cribler, mais après avoir été éprouvés, le Seigneur nous donne sa couronne de vie, la couronne promise à ceux qui l'aiment de tout leur coeur, le couronne de justice, incorruptible car de gloire.

Apocalypse 14:14 : "Je regardai, et voici, il y avait une nuée blanche, et sur la nuée était assis quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, ayant sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille tranchante".

Une personne capable de mentir à Dieu, de dissimuler comme s'il ne voyait ni n'entendait, n'a pas véritablement cru au Seigneur Dieu dans son coeur, ou a produit dans son imagination un "autre Jésus" que l'unique véritable, car si elle y avait cru, la crainte de Dieu aurait été en elle la rendant incapable de cette dissimulation, crainte qui s'estompe lorsque l'amour parfait de Christ est mis dans notre coeur, son amour bannit la crainte puisqu'aucune punition ne peut être lorsque nous sommes délivrés du mal, du mauvais.

1 Jean 5 : "Si quelqu'un voit son frère commettre un péché qui ne mène pas à la mort, qu'il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère; je parle ici de ceux qui commettent un péché ne conduisant pas à la mort. Il y a un péché qui mène à la mort, et ce n'est pas pour ce péché là que je dis de prier. Toute injustice est un péché, mais tous les péchés ne conduisent pas jusqu'à la mort. Nous savons que, si quelqu'un est né de Dieu, il ne pèche pas. Au contraire, celui qui est né de Dieu se garde lui-même et le mauvais ne le touche pas".

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