La sagesse et l'intelligence du coeur
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La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Mar 23 Avr 2024 - 11:43
Job 28:12 "Mais la sagesse, où la trouvera-t-on ? Où donc est le lieu de l'intelligence ?
L'homme ne connaît pas son prix, et elle ne se trouve pas dans la terre des vivants. L'abîme dit: Elle n'est pas en moi; et la mer dit: Elle n'est pas avec moi. Elle ne se donne pas pour de l'or fin, elle ne s'achète pas au poids de l'argent. On ne la met pas en balance avec l'or d'Ophir; ni avec le précieux onyx, ni avec le saphir. On ne la compare point avec l'or et avec le verre, et on ne l'échange pas pour des vases d'or fin. On ne parle ni du corail ni du cristal, et la possession de la sagesse vaut plus que des perles. On ne la compare pas avec la topaze d'Éthiopie; on ne la met pas en balance avec l'or le plus fin.
Mais la sagesse, d'où viendra-t-elle ? Et où donc est la demeure de l'intelligence ?
Elle est cachée aux yeux de tous les vivants; elle se dérobe aux oiseaux des cieux. Le gouffre et la mort disent: Nous avons de nos oreilles entendu parler d'elle. C'est Dieu qui sait son chemin; c'est lui qui connaît sa demeure. Car il regarde, lui, jusqu'aux extrémités du monde; il voit sous tous les cieux.
Quand il donnait au vent son poids, quand il pesait et mesurait les eaux, Quand il prescrivait une loi à la pluie, et un chemin à l'éclair des tonnerres, Il la vit alors et la proclama; il l'établit, et même il la sonda; Puis il dit à l'homme :
Voici, la crainte du Seigneur, c'est la sagesse, et se détourner du mal, c'est l'intelligence".
Sagesse, de l'hébreu chokmah, vient de chakam : être sage, être ou devenir sage, agir sagement, rendre sage, être bien avisé, comme dans ce verset en Job 32:9 "Ce n'est pas l'âge qui procure la sagesse (Chakam), Ce n'est pas la vieillesse qui rend capable de juger". Le chemin (la conversion) commence par la crainte de l'Eternel, celui qui n'a jamais craint sa toute puissance, comment peut-il dire croire dans le Tout-Puissant, le Créateur de toutes choses ? ainsi se détourner du mal, c'est emboiter le pas, l'intelligence, pour devenir sage, être rendu sage. Genèse 18:27 "Abraham reprit, et dit : Voici, j'ai osé parler au Seigneur ('Adonay), moi qui ne suis que poudre et cendre".
Proverbes de Salomon 10:31 "La bouche du juste produit la sagesse, Mais la langue perverse sera retranchée. Les lèvres du juste connaissent la grâce, Et la bouche des méchants la perversité". Proverbes 14:33 "Dans un coeur intelligent repose la sagesse (Chokmah), Mais au milieu des insensés elle se montre à découvert".
Ecclésiaste (fils de David, roi de Jérusalem) 1:12 "Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem. J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; Et voici, tout est vanité et poursuite du vent". Proverbes 11:30 : "Le fruit du juste est un arbre de vie"
Luc 7 31, le Seigneur Jésus dit : "A qui donc comparerai-je les hommes de cette génération, et à qui ressemblent-ils ? Ils ressemblent aux enfants assis dans la place publique, et qui crient les uns aux autres, et disent: Nous vous avons joué de la flûte, et vous n'avez point dansé, nous nous sommes lamentés, et vous n'avez point pleuré. Car Jean-Baptiste est venu, ne mangeant point de pain, et ne buvant point de vin; et vous dites : Il a un démon. Le Fils de l'homme est venu, mangeant et buvant; et vous dites : Voilà un mangeur et un buveur, un ami des péagers et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par tous ses enfants".
L'homme ne connaît pas son prix, et elle ne se trouve pas dans la terre des vivants. L'abîme dit: Elle n'est pas en moi; et la mer dit: Elle n'est pas avec moi. Elle ne se donne pas pour de l'or fin, elle ne s'achète pas au poids de l'argent. On ne la met pas en balance avec l'or d'Ophir; ni avec le précieux onyx, ni avec le saphir. On ne la compare point avec l'or et avec le verre, et on ne l'échange pas pour des vases d'or fin. On ne parle ni du corail ni du cristal, et la possession de la sagesse vaut plus que des perles. On ne la compare pas avec la topaze d'Éthiopie; on ne la met pas en balance avec l'or le plus fin.
Mais la sagesse, d'où viendra-t-elle ? Et où donc est la demeure de l'intelligence ?
Elle est cachée aux yeux de tous les vivants; elle se dérobe aux oiseaux des cieux. Le gouffre et la mort disent: Nous avons de nos oreilles entendu parler d'elle. C'est Dieu qui sait son chemin; c'est lui qui connaît sa demeure. Car il regarde, lui, jusqu'aux extrémités du monde; il voit sous tous les cieux.
Quand il donnait au vent son poids, quand il pesait et mesurait les eaux, Quand il prescrivait une loi à la pluie, et un chemin à l'éclair des tonnerres, Il la vit alors et la proclama; il l'établit, et même il la sonda; Puis il dit à l'homme :
Voici, la crainte du Seigneur, c'est la sagesse, et se détourner du mal, c'est l'intelligence".
Sagesse, de l'hébreu chokmah, vient de chakam : être sage, être ou devenir sage, agir sagement, rendre sage, être bien avisé, comme dans ce verset en Job 32:9 "Ce n'est pas l'âge qui procure la sagesse (Chakam), Ce n'est pas la vieillesse qui rend capable de juger". Le chemin (la conversion) commence par la crainte de l'Eternel, celui qui n'a jamais craint sa toute puissance, comment peut-il dire croire dans le Tout-Puissant, le Créateur de toutes choses ? ainsi se détourner du mal, c'est emboiter le pas, l'intelligence, pour devenir sage, être rendu sage. Genèse 18:27 "Abraham reprit, et dit : Voici, j'ai osé parler au Seigneur ('Adonay), moi qui ne suis que poudre et cendre".
Proverbes de Salomon 10:31 "La bouche du juste produit la sagesse, Mais la langue perverse sera retranchée. Les lèvres du juste connaissent la grâce, Et la bouche des méchants la perversité". Proverbes 14:33 "Dans un coeur intelligent repose la sagesse (Chokmah), Mais au milieu des insensés elle se montre à découvert".
Ecclésiaste (fils de David, roi de Jérusalem) 1:12 "Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem. J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; Et voici, tout est vanité et poursuite du vent". Proverbes 11:30 : "Le fruit du juste est un arbre de vie"
Luc 7 31, le Seigneur Jésus dit : "A qui donc comparerai-je les hommes de cette génération, et à qui ressemblent-ils ? Ils ressemblent aux enfants assis dans la place publique, et qui crient les uns aux autres, et disent: Nous vous avons joué de la flûte, et vous n'avez point dansé, nous nous sommes lamentés, et vous n'avez point pleuré. Car Jean-Baptiste est venu, ne mangeant point de pain, et ne buvant point de vin; et vous dites : Il a un démon. Le Fils de l'homme est venu, mangeant et buvant; et vous dites : Voilà un mangeur et un buveur, un ami des péagers et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par tous ses enfants".
Dernière édition par Sσρhiα le Jeu 25 Avr 2024 - 11:37, édité 1 fois
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement. 
Sσρhiα- Date d'inscription : 18/06/2023
Localisation : Normandie, France -
Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Mer 24 Avr 2024 - 12:45
Dans la nouvelle alliance, le mot sagesse vient du grec sophia : sagesse, largeur et plénitude de l'intelligence, mot utilisé pour la connaissance, le savoir, de manière qui peut désigner la sagesse des hommes mais qui mentent contre la vérité (sagesse terrestre), et aussi la suprême intelligence qui appartient à Dieu en Christ (sagesse céleste), cette seconde s'accompagne de prudence, d'adresse et de discrétion dans la communication de la vérité de Christ Jésus, la sagesse de son Esprit, l'Esprit de Vérité (que le monde ne peut recevoir). "Sophia" vient de "sophos" : sage, habile, la sagesse des enseignants chrétiens qui ont pleinement saisi ce que Jacques déclare dans sa lettre, chapitre 3 : "Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement".
Jacques explique ensuite que l'homme parfait, le sage et l'intelligent, est capable de tenir tout son corps en bride, et particulièrement sa langue, "un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une grande forêt ! La langue aussi est un feu; c'est le monde de l'iniquité. La langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, étant elle-même enflammée par la géhenne". Il ajoute que par elle "nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l'image de Dieu. De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi", la comparant à une source qui ferait jaillir par la même ouverture l'eau douce et l'eau amère, ou à un figuier qui produirait des olives, ou une vigne des figues, "De l'eau salée ne peut pas non plus produire de l'eau douce".
Il conclut le chapitre en écrivant "Lequel d'entre vous est sage (sophos) et intelligent ? Qu'il montre ses oeuvres par une bonne conduite avec la douceur de la sagesse (sophia). Mais si vous avez dans votre coeur un zèle amer et un esprit de dispute, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. Cette sagesse (sophia) n'est point celle qui vient d'en haut; mais elle est terrestre, charnelle, diabolique. Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. La sagesse (sophia) d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie. Le fruit de la justice est semé dans la paix par ceux qui recherchent la paix".
Dans le chapitre suivant, Jacques ne craint donc pas d'écrire que Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles, et d'ajouter "Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs, purifiez vos coeurs, hommes irrésolus. Sentez votre misère; soyez dans le deuil et dans les larmes; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse. Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera". C'est en cela que nous constatons que la crainte salutaire du regard de Dieu sur nous échappe à bon nombre, d'autant plus que celui qui sait faire ce qui est bien et qui ne le fait pas commet un péché (verset 17).
Dans le chapitre 5, Jacques s'adresse aux riches, leur disant qu'ils peuvent pleurer et gémir, à cause des malheurs qui viendront sur eux car leurs richesses sont pourries et leurs vêtements sont rongés par les teignes, comme leur or et leur argent sont rouillés et cette rouille s'élèvera en témoignage contre eux, et dévorera leurs chairs comme un feu. Ainsi exhorte t'il à la patience en affermissant le coeur, car là où est notre trésor, là aussi est notre coeur. Il désigne pour modèles de souffrance et de patience les prophètes qui ont parlé au nom du Seigneur, disant bienheureux ceux qui ont souffert patiemment, citant Job et la fin que le Seigneur lui accorda. Enfin il exhorte à confesser les péchés les uns aux autres, à prier les uns pour les autres afin d'être guéris, la prière fervente du juste a une grande efficace. Puis il conclut en déclarant : "Mes frères, si quelqu'un parmi vous s'est égaré loin de la vérité, et qu'un autre l'y ramène, qu'il sache que celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s'était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés". La crainte de Dieu lors de notre conversion et par la suite, jusqu'à ce que le Seigneur vienne faire sa demeure en nous en Esprit et en vérité et soit formé, ne réside donc pas pour ceux qui l'aiment puissamment dans un jugement non favorable qui pourrait être émis à leur égard pas plus qu'en raison d'un éventuel châtiment car cet amour là tend vers la perfection, mais dans le fait de pouvoir possiblement lui déplaire, l'attrister, elle se manifeste à cause de l'amour que nous lui portons, un amour qui ne supporte pas la pensée de pouvoir blesser le Seigneur notre Dieu de quelque manière que ce soit. C'est un amour parfaitement conscient que ce que nous faisons aux autres, aux plus petits de ses frères, c'est à Lui que nous le faisons, ainsi nous amène t'il à faire ce qui est bien en toutes circonstances pour que cette crainte même disparaisse, alors notre joie et notre paix en Lui sont permanentes. C'est à cela que la foi nous mène, à la grâce surabondante, aussi :
"Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien. Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse (sophia), qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée".
Jacques explique ensuite que l'homme parfait, le sage et l'intelligent, est capable de tenir tout son corps en bride, et particulièrement sa langue, "un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une grande forêt ! La langue aussi est un feu; c'est le monde de l'iniquité. La langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, étant elle-même enflammée par la géhenne". Il ajoute que par elle "nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l'image de Dieu. De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi", la comparant à une source qui ferait jaillir par la même ouverture l'eau douce et l'eau amère, ou à un figuier qui produirait des olives, ou une vigne des figues, "De l'eau salée ne peut pas non plus produire de l'eau douce".
Il conclut le chapitre en écrivant "Lequel d'entre vous est sage (sophos) et intelligent ? Qu'il montre ses oeuvres par une bonne conduite avec la douceur de la sagesse (sophia). Mais si vous avez dans votre coeur un zèle amer et un esprit de dispute, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. Cette sagesse (sophia) n'est point celle qui vient d'en haut; mais elle est terrestre, charnelle, diabolique. Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. La sagesse (sophia) d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie. Le fruit de la justice est semé dans la paix par ceux qui recherchent la paix".
Dans le chapitre suivant, Jacques ne craint donc pas d'écrire que Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles, et d'ajouter "Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs, purifiez vos coeurs, hommes irrésolus. Sentez votre misère; soyez dans le deuil et dans les larmes; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse. Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera". C'est en cela que nous constatons que la crainte salutaire du regard de Dieu sur nous échappe à bon nombre, d'autant plus que celui qui sait faire ce qui est bien et qui ne le fait pas commet un péché (verset 17).
Dans le chapitre 5, Jacques s'adresse aux riches, leur disant qu'ils peuvent pleurer et gémir, à cause des malheurs qui viendront sur eux car leurs richesses sont pourries et leurs vêtements sont rongés par les teignes, comme leur or et leur argent sont rouillés et cette rouille s'élèvera en témoignage contre eux, et dévorera leurs chairs comme un feu. Ainsi exhorte t'il à la patience en affermissant le coeur, car là où est notre trésor, là aussi est notre coeur. Il désigne pour modèles de souffrance et de patience les prophètes qui ont parlé au nom du Seigneur, disant bienheureux ceux qui ont souffert patiemment, citant Job et la fin que le Seigneur lui accorda. Enfin il exhorte à confesser les péchés les uns aux autres, à prier les uns pour les autres afin d'être guéris, la prière fervente du juste a une grande efficace. Puis il conclut en déclarant : "Mes frères, si quelqu'un parmi vous s'est égaré loin de la vérité, et qu'un autre l'y ramène, qu'il sache que celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s'était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés". La crainte de Dieu lors de notre conversion et par la suite, jusqu'à ce que le Seigneur vienne faire sa demeure en nous en Esprit et en vérité et soit formé, ne réside donc pas pour ceux qui l'aiment puissamment dans un jugement non favorable qui pourrait être émis à leur égard pas plus qu'en raison d'un éventuel châtiment car cet amour là tend vers la perfection, mais dans le fait de pouvoir possiblement lui déplaire, l'attrister, elle se manifeste à cause de l'amour que nous lui portons, un amour qui ne supporte pas la pensée de pouvoir blesser le Seigneur notre Dieu de quelque manière que ce soit. C'est un amour parfaitement conscient que ce que nous faisons aux autres, aux plus petits de ses frères, c'est à Lui que nous le faisons, ainsi nous amène t'il à faire ce qui est bien en toutes circonstances pour que cette crainte même disparaisse, alors notre joie et notre paix en Lui sont permanentes. C'est à cela que la foi nous mène, à la grâce surabondante, aussi :
"Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien. Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse (sophia), qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée".
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement.
Sσρhiα- Date d'inscription : 18/06/2023
Localisation : Normandie, France -
Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Jeu 25 Avr 2024 - 12:44
Le coeur exprime les émotions et les sentiments, ainsi la sagesse (sophia) d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie. Le fruit de la justice est donc semé dans la paix par ceux qui recherchent la paix.
La duplicité, c'est tenir un langage double avec intention de tromper autrui et de se tromper soi-même par ricochet, du grec dilogos, vient de "dis" : deux fois, "logos" : parole. L'hypocrisie, c'est la dissimulation de sa propre personnalité intérieure afin qu'elle ne paraisse pas, que ne paraisse pas en plein jour ce que le coeur contient, comme un rôle que joue un acteur, comme dans cette parole de Jésus à l'adresse des scribes et des pharisiens en Matthieu 23:28 "Vous de même, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins d'hypocrisie et d'iniquité". Extérieurement (l'homme extérieur, ancien), ils paraissaient justes aux hommes et voulaient qu'ils les voient ainsi, mais au dedans, intérieurement (l'homme intérieur appelé à naître de nouveau en son coeur), ils étaient pleins d'hypocrisie et d'iniquité, c'était leur "levain" que l'hypocrisie : faire croire qu'ils étaient justes.
Jésus exprimait la sagesse d'en haut, sa parole à leur égard est exempte de duplicité et d'hypocrisie, il les voyait tels qu'ils étaient au dedans et non tels qu'ils voulaient se faire voir au-dehors aux hommes, leur renvoyant une image fausse, double et hypocrite, un double jeu sournois qu'est le fait de ne pas se montrer sous son vrai jour le dissimulant, et de tromper les autres sur ses intentions et ses sentiments, le "paraître" prime sur "l'être". Ce double jeu peut être pratiqué avec intelligence, mais c'est l'intelligence charnelle, terrestre et diabolique, d'où l'esprit de zèle amer et de dispute qui animait ceux qui en voulaient à la vie de Jésus, non rendus capables de comprendre que son royaume n'était pas de ce monde, pas plus que le temple dont il parla :
Jean 2: 19 : "Jésus leur répondit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai".
Matthieu 26:61 "Celui-ci a dit : Je puis détruire le temple de Dieu, et le rebâtir en trois jours".
Marc 14:58 "Nous l'avons entendu dire : Je détruirai ce temple fait de main d'homme, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme". Il parlait du temple de son corps, mais bien plus encore puisqu'il parlait aussi du temple de Dieu Eternel, qu'en trois millénaires incluant le millenium, il bâtit.
Leur intelligence était voilée parce que leur coeur était endurci, un coeur nouveau, bien disposé, celui des convertis, saisit que le temple de Dieu n'est plus un temple de pierres mortes mais de pierres vivantes, celui de ses enfants au coeur nouveau. Pour le premier temple, l'Eternel avait dit, Exode 35:5 : "Prenez sur ce qui vous appartient une offrande pour l'Eternel. Tout homme dont le coeur est bien disposé apportera en offrande à l'Eternel : de l'or, de l'argent et de l'airain". Pour le second temple, Jésus s'y rendait souvent et y enseignait, la foule l'écoutait avec plaisir, exemple en Marc 12 : 38 "Il leur disait dans son enseignement : Gardez-vous des scribes, qui aiment à se promener en robes longues, et à être salués dans les places publiques; qui recherchent les premiers sièges dans les synagogues, et les premières places dans les festins; qui dévorent les maisons des veuves, et qui font pour l'apparence de longues prières. Ils seront jugés plus sévèrement. Jésus, s'étant assis vis-à-vis du tronc, regardait comment la foule y mettait de l'argent. Plusieurs riches mettaient beaucoup. Il vint aussi une pauvre veuve, elle y mit deux petites pièces, faisant un quart de sou. Alors Jésus, ayant appelé ses disciples, leur dit : Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus qu'aucun de ceux qui ont mis dans le tronc; car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu'elle possédait, tout ce qu'elle avait pour vivre".
Jésus ouvre une nouvelle compréhension quant à la dîme pour le temple car le temple Eternel n'est pas fait de mains d'hommes : tout ce que nous possédons, tout ce que nous avons pour vivre, nous l'offrons de tout coeur, par amour, au Souverain sacrificateur de la nouvelle alliance : nous renonçons à nous-même pour faire sa volonté, chercher premièrement le royaume et la justice de Dieu, par sagesse et intelligence du coeur, nous lui donnons notre vie qui lui appartient, toute entière : esprit, corps et âme. Hébreux 7:7 : "Or c'est sans contredit l'inférieur qui est béni par le supérieur. Et ici, ceux qui perçoivent la dîme sont des hommes mortels; mais là, c'est celui dont il est attesté qu'il est vivant". Le sacerdoce étant changé, nécessairement aussi il y a un changement de loi, plus évident encore quand il paraît un autre sacrificateur à la ressemblance de Melchisédek, "institué, non d'après la loi d'une ordonnance charnelle, mais selon la puissance d'une vie impérissable; car ce témoignage lui est rendu : Tu es sacrificateur pour toujours Selon l'ordre de Melchisédek. Il y a ainsi abolition d'une ordonnance antérieure, à cause de son impuissance et de son inutilité,- car la loi n'a rien amené à la perfection,- et introduction d'une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu".
Jésus est par cela même le garant d'une alliance plus excellente parce qu'il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n'est pas transmissible. "C'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur", la religion pure et sans tache devant Dieu notre Père est ainsi celle dont parle Jacques dans sa lettre chapitre 1:26 "Si quelqu'un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son coeur, la religion de cet homme est vaine. La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde", l'amour du prochain comme soi-même, en gardant cette sagesse à l'esprit et dans son coeur : "N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement" 1 Jean 2.
La duplicité, c'est tenir un langage double avec intention de tromper autrui et de se tromper soi-même par ricochet, du grec dilogos, vient de "dis" : deux fois, "logos" : parole. L'hypocrisie, c'est la dissimulation de sa propre personnalité intérieure afin qu'elle ne paraisse pas, que ne paraisse pas en plein jour ce que le coeur contient, comme un rôle que joue un acteur, comme dans cette parole de Jésus à l'adresse des scribes et des pharisiens en Matthieu 23:28 "Vous de même, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins d'hypocrisie et d'iniquité". Extérieurement (l'homme extérieur, ancien), ils paraissaient justes aux hommes et voulaient qu'ils les voient ainsi, mais au dedans, intérieurement (l'homme intérieur appelé à naître de nouveau en son coeur), ils étaient pleins d'hypocrisie et d'iniquité, c'était leur "levain" que l'hypocrisie : faire croire qu'ils étaient justes.
Jésus exprimait la sagesse d'en haut, sa parole à leur égard est exempte de duplicité et d'hypocrisie, il les voyait tels qu'ils étaient au dedans et non tels qu'ils voulaient se faire voir au-dehors aux hommes, leur renvoyant une image fausse, double et hypocrite, un double jeu sournois qu'est le fait de ne pas se montrer sous son vrai jour le dissimulant, et de tromper les autres sur ses intentions et ses sentiments, le "paraître" prime sur "l'être". Ce double jeu peut être pratiqué avec intelligence, mais c'est l'intelligence charnelle, terrestre et diabolique, d'où l'esprit de zèle amer et de dispute qui animait ceux qui en voulaient à la vie de Jésus, non rendus capables de comprendre que son royaume n'était pas de ce monde, pas plus que le temple dont il parla :
Jean 2: 19 : "Jésus leur répondit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai".
Matthieu 26:61 "Celui-ci a dit : Je puis détruire le temple de Dieu, et le rebâtir en trois jours".
Marc 14:58 "Nous l'avons entendu dire : Je détruirai ce temple fait de main d'homme, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme". Il parlait du temple de son corps, mais bien plus encore puisqu'il parlait aussi du temple de Dieu Eternel, qu'en trois millénaires incluant le millenium, il bâtit.
Leur intelligence était voilée parce que leur coeur était endurci, un coeur nouveau, bien disposé, celui des convertis, saisit que le temple de Dieu n'est plus un temple de pierres mortes mais de pierres vivantes, celui de ses enfants au coeur nouveau. Pour le premier temple, l'Eternel avait dit, Exode 35:5 : "Prenez sur ce qui vous appartient une offrande pour l'Eternel. Tout homme dont le coeur est bien disposé apportera en offrande à l'Eternel : de l'or, de l'argent et de l'airain". Pour le second temple, Jésus s'y rendait souvent et y enseignait, la foule l'écoutait avec plaisir, exemple en Marc 12 : 38 "Il leur disait dans son enseignement : Gardez-vous des scribes, qui aiment à se promener en robes longues, et à être salués dans les places publiques; qui recherchent les premiers sièges dans les synagogues, et les premières places dans les festins; qui dévorent les maisons des veuves, et qui font pour l'apparence de longues prières. Ils seront jugés plus sévèrement. Jésus, s'étant assis vis-à-vis du tronc, regardait comment la foule y mettait de l'argent. Plusieurs riches mettaient beaucoup. Il vint aussi une pauvre veuve, elle y mit deux petites pièces, faisant un quart de sou. Alors Jésus, ayant appelé ses disciples, leur dit : Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus qu'aucun de ceux qui ont mis dans le tronc; car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu'elle possédait, tout ce qu'elle avait pour vivre".
Jésus ouvre une nouvelle compréhension quant à la dîme pour le temple car le temple Eternel n'est pas fait de mains d'hommes : tout ce que nous possédons, tout ce que nous avons pour vivre, nous l'offrons de tout coeur, par amour, au Souverain sacrificateur de la nouvelle alliance : nous renonçons à nous-même pour faire sa volonté, chercher premièrement le royaume et la justice de Dieu, par sagesse et intelligence du coeur, nous lui donnons notre vie qui lui appartient, toute entière : esprit, corps et âme. Hébreux 7:7 : "Or c'est sans contredit l'inférieur qui est béni par le supérieur. Et ici, ceux qui perçoivent la dîme sont des hommes mortels; mais là, c'est celui dont il est attesté qu'il est vivant". Le sacerdoce étant changé, nécessairement aussi il y a un changement de loi, plus évident encore quand il paraît un autre sacrificateur à la ressemblance de Melchisédek, "institué, non d'après la loi d'une ordonnance charnelle, mais selon la puissance d'une vie impérissable; car ce témoignage lui est rendu : Tu es sacrificateur pour toujours Selon l'ordre de Melchisédek. Il y a ainsi abolition d'une ordonnance antérieure, à cause de son impuissance et de son inutilité,- car la loi n'a rien amené à la perfection,- et introduction d'une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu".
Jésus est par cela même le garant d'une alliance plus excellente parce qu'il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n'est pas transmissible. "C'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur", la religion pure et sans tache devant Dieu notre Père est ainsi celle dont parle Jacques dans sa lettre chapitre 1:26 "Si quelqu'un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son coeur, la religion de cet homme est vaine. La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde", l'amour du prochain comme soi-même, en gardant cette sagesse à l'esprit et dans son coeur : "N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement" 1 Jean 2.
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement.
Sσρhiα- Date d'inscription : 18/06/2023
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Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Ven 26 Avr 2024 - 12:58
Ephésiens 1:15 "C'est pourquoi moi aussi, ayant entendu parler de votre foi au Seigneur Jésus et de votre charité pour tous les saints, je ne cesse de rendre grâces pour vous, faisant mention de vous dans mes prières, afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu'il illumine les yeux de votre coeur (dianoia), pour que vous sachiez quelle est l'espérance qui s'attache à son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu'il réserve aux saints, et quelle est envers nous qui croyons l'infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force".
Ephésiens 4:18 "Ils ont l'intelligence (dianoia) obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l'ignorance qui est en eux, à cause de l'endurcissement de leur coeur".
Concernant le mot "intelligence", le verset 18 aurait pu être traduit par : "et qu'il illumine les yeux de votre intelligence", mais ce n'est pas l'intelligence d'un coeur dans les ténèbres dont il est question (comme en Ephésiens 4:18, un coeur endurci), c'est l'intelligence du coeur aimant, ouvert à l'amour, ainsi le coeur spirituel est-il considéré comme celui qui voit et qui entend, l'intelligence du coeur.
Dianoia vient de "dia" (par, à travers) et "nous" (l'esprit, le sens, l'entendement, le bon sens). Le "nous" est l'entendement de l'âme, son bon sens lorsque devenue comme l'esprit (pneuma), elle acquiert la capacité de la vérité spirituelle, c'est son plus haut pouvoir car c'est la perception des choses divines, célestes, comme dans ce verset en Luc 24, le 45 : "Alors il leur ouvrit l'esprit (nous), afin qu'ils comprissent les Ecritures". Le mot "esprit" ici n'est pas le mot grec "pneuma" mais "nous" : les facultés de perception et de compréhension + celles de sentiment, jugement et détermination. "Nous" peut ainsi être un sens réprouvé, dénué de bon sens car l'intelligence du coeur peut être obscurcie, dans les ténèbres et non dans la lumière, comme dans ce verset en Romains 1:28 "Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens (nous) réprouvé, pour commettre des choses indignes".
C'est cet entendement, ce bon sens intelligent, qui est renouvelé et transforme, les faisant marcher en nouveauté de vie, ceux qui se convertissent et leur permet de discerner, comme Paul l'écrivait aux Romains 12:1 "Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence (nous), afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait" : soyez transformée par le renouvellement de votre "nous", "par, à travers", dianoia.
Par cette puissance d'entendement qui vit en chacun de nous, nous découvrons que tout ce qui existe dans notre monde est connecté à tout le reste, tous les humains de la planète sont liés directement à cette force qui a créé toutes choses, des atomes aux étoiles jusqu'à l'ADN de la vie. Mais ce pouvoir est "dormant" et nécessite d'être éveillé, ce qui peut être nommé le retour, dans le sens de retournement vers le Créateur, ainsi en modifiant la vision de nous-mêmes dans ce monde, un changement de "perception" se produit lorsque nous acceptons de voir différemment le sens de notre vie dans ce monde et de chercher son but ultime.
Il y a 2000 ans, Jésus déclara que "Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité" (Jean 4:24), en vérité : sincèrement, dans le coeur. L'Esprit qu'est Dieu est la matrice divine et le contenant de tout l'univers, une force toute puissante et nous sommes en mesure par l'esprit qui anime notre être de puiser à même cette force, ce modèle est un champ d'énergie que Max Planck a défini comme "l'Esprit intelligent et conscient" 2000 ans après le Christ. Décrire cette matrice simplement, Gregg Braden l'a fait en 3 aspects, je le cite : "1) le contenant de l'univers 2) le pont entre notre monde intérieur et notre monde extérieur 3) le miroir reflétant nos pensées, nos sentiments, nos émotions et nos croyances" (dans son livre "la Divine matrice"). Il y a la Lumière (Gloire, Esprit Saint) et les ténèbres, comme l'univers entier le montre, comme il y a le jour et la nuit, selon l'orientation "du point de vue" par rapport à la lumière. Max Planck a déclaré à la suite de ses recherches sur l'atome : "la matière comme telle n'existe pas, toute matière n'existe qu'en vertu d'une force qui fait vibrer les particules et maintient ce minuscule système solaire qu'est l'atome. Nous pouvons supposer sous cette force l'existence d'un Esprit intelligent et conscient. Cet Esprit est la matrice de toute matière". La physique quantique, c'est la science qui s'allie à la spiritualité, elle définit un monde où tout est quantifiable et où les atomes peuvent avoir plusieurs états, chacun associé à un niveau d'énergie différent. Le passage d'un état à l'autre ne peut se faire que si l'atome reçoit une quantité d'énergie précise et suffisante.
Etre connecté à l'Esprit notre Père, au sein de sentiments véritables et lumineux alliant foi, espérance et amour, démontre comment les prières à l'intérieur de nous peuvent être d'une grande efficace dans le monde extérieur, autour de nous. L'Esprit de Dieu, sa gloire, remplit l'espace entre vous et les mots que vous lisez ici, c'est ce dont l'espace lui-même est fait, nous sommes tous connectés par cette divine matrice de la façon la plus intime qu'il est possible d'imaginer : par un coeur converti à la Vérité, un coeur dans l'amour du Créateur, un coeur qui l'honore, et ce coeur là est rempli de joie et de paix, la connexion est établie et permanente, c'est le retour à la Maison.
Ephésiens 4:18 "Ils ont l'intelligence (dianoia) obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l'ignorance qui est en eux, à cause de l'endurcissement de leur coeur".
Concernant le mot "intelligence", le verset 18 aurait pu être traduit par : "et qu'il illumine les yeux de votre intelligence", mais ce n'est pas l'intelligence d'un coeur dans les ténèbres dont il est question (comme en Ephésiens 4:18, un coeur endurci), c'est l'intelligence du coeur aimant, ouvert à l'amour, ainsi le coeur spirituel est-il considéré comme celui qui voit et qui entend, l'intelligence du coeur.
Dianoia vient de "dia" (par, à travers) et "nous" (l'esprit, le sens, l'entendement, le bon sens). Le "nous" est l'entendement de l'âme, son bon sens lorsque devenue comme l'esprit (pneuma), elle acquiert la capacité de la vérité spirituelle, c'est son plus haut pouvoir car c'est la perception des choses divines, célestes, comme dans ce verset en Luc 24, le 45 : "Alors il leur ouvrit l'esprit (nous), afin qu'ils comprissent les Ecritures". Le mot "esprit" ici n'est pas le mot grec "pneuma" mais "nous" : les facultés de perception et de compréhension + celles de sentiment, jugement et détermination. "Nous" peut ainsi être un sens réprouvé, dénué de bon sens car l'intelligence du coeur peut être obscurcie, dans les ténèbres et non dans la lumière, comme dans ce verset en Romains 1:28 "Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens (nous) réprouvé, pour commettre des choses indignes".
C'est cet entendement, ce bon sens intelligent, qui est renouvelé et transforme, les faisant marcher en nouveauté de vie, ceux qui se convertissent et leur permet de discerner, comme Paul l'écrivait aux Romains 12:1 "Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence (nous), afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait" : soyez transformée par le renouvellement de votre "nous", "par, à travers", dianoia.
Par cette puissance d'entendement qui vit en chacun de nous, nous découvrons que tout ce qui existe dans notre monde est connecté à tout le reste, tous les humains de la planète sont liés directement à cette force qui a créé toutes choses, des atomes aux étoiles jusqu'à l'ADN de la vie. Mais ce pouvoir est "dormant" et nécessite d'être éveillé, ce qui peut être nommé le retour, dans le sens de retournement vers le Créateur, ainsi en modifiant la vision de nous-mêmes dans ce monde, un changement de "perception" se produit lorsque nous acceptons de voir différemment le sens de notre vie dans ce monde et de chercher son but ultime.
Il y a 2000 ans, Jésus déclara que "Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité" (Jean 4:24), en vérité : sincèrement, dans le coeur. L'Esprit qu'est Dieu est la matrice divine et le contenant de tout l'univers, une force toute puissante et nous sommes en mesure par l'esprit qui anime notre être de puiser à même cette force, ce modèle est un champ d'énergie que Max Planck a défini comme "l'Esprit intelligent et conscient" 2000 ans après le Christ. Décrire cette matrice simplement, Gregg Braden l'a fait en 3 aspects, je le cite : "1) le contenant de l'univers 2) le pont entre notre monde intérieur et notre monde extérieur 3) le miroir reflétant nos pensées, nos sentiments, nos émotions et nos croyances" (dans son livre "la Divine matrice"). Il y a la Lumière (Gloire, Esprit Saint) et les ténèbres, comme l'univers entier le montre, comme il y a le jour et la nuit, selon l'orientation "du point de vue" par rapport à la lumière. Max Planck a déclaré à la suite de ses recherches sur l'atome : "la matière comme telle n'existe pas, toute matière n'existe qu'en vertu d'une force qui fait vibrer les particules et maintient ce minuscule système solaire qu'est l'atome. Nous pouvons supposer sous cette force l'existence d'un Esprit intelligent et conscient. Cet Esprit est la matrice de toute matière". La physique quantique, c'est la science qui s'allie à la spiritualité, elle définit un monde où tout est quantifiable et où les atomes peuvent avoir plusieurs états, chacun associé à un niveau d'énergie différent. Le passage d'un état à l'autre ne peut se faire que si l'atome reçoit une quantité d'énergie précise et suffisante.
Etre connecté à l'Esprit notre Père, au sein de sentiments véritables et lumineux alliant foi, espérance et amour, démontre comment les prières à l'intérieur de nous peuvent être d'une grande efficace dans le monde extérieur, autour de nous. L'Esprit de Dieu, sa gloire, remplit l'espace entre vous et les mots que vous lisez ici, c'est ce dont l'espace lui-même est fait, nous sommes tous connectés par cette divine matrice de la façon la plus intime qu'il est possible d'imaginer : par un coeur converti à la Vérité, un coeur dans l'amour du Créateur, un coeur qui l'honore, et ce coeur là est rempli de joie et de paix, la connexion est établie et permanente, c'est le retour à la Maison.
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement.
Sσρhiα- Date d'inscription : 18/06/2023
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Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Hervé-P Ven 26 Avr 2024 - 14:40
Sophia a écrit:„„La crainte de Dieu lors de notre conversion et par la suite, jusqu'à ce que le Seigneur vienne faire sa demeure en nous en Esprit et en vérité et soit formé, ne réside donc pas pour ceux qui l'aiment puissamment dans un jugement non favorable qui pourrait être émis à leur égard pas plus qu'en raison d'un éventuel châtiment car cet amour là tend vers la perfection, mais dans le fait de pouvoir possiblement lui déplaire, l'attrister, elle se manifeste à cause de l'amour que nous lui portons, un amour qui ne supporte pas la pensée de pouvoir blesser le Seigneur notre Dieu de quelque manière que ce soit. C'est un amour parfaitement conscient que ce que nous faisons aux autres, aux plus petits de ses frères, c'est à Lui que nous le faisons, ainsi nous amène t'il à faire ce qui est bien en toutes circonstances pour que cette crainte même disparaisse, alors notre joie et notre paix en Lui sont permanentes. C'est à cela que la foi nous mène, à la grâce surabondante, aussi…““
— Quand Dieu dresse une table face à nos ennemis :
Psaumes 23, 5 : «Tu dresses la table devant moi, à la vue de ceux qui me persécutent; tu oins ma tête d’huile; ma coupe déborde.»
, c'est une table à 4 pieds, dont les pieds sont :
* l'Amour,
* la Vérité,
* la Justice,
* la Sainteté !
— Et si c'est un guéridon à un seul pied, le pied principal (l'Amour) ne peut pas tenir debout sans les 3 autres qui forment trois petits pieds en étoile triangulaire !
— Beucoup ne voient pas ce fait et parlent “d'Amouououourrrr” à susciter la nausée car cet “amouououourrrrr”-là n'est PAS associé à la Justice, la Vérité et la Sainteté ! C'est donc un amour humain aussi versatile que le cœur humain, facilement influençable et prompt à changer dès la première contradiction venue !
— Dans cette vidéo (activer les sous-titres dans Youtube) :
, le commentateur explique que le passage de Genèse 11, 10-26 a été falsifié par les scribes et les sacrificateurs qui ne voulaient pas reconnaître Jésus-Christ comme leur Souverain Sacrificateur, faisant ainsi un amalgame entre Melchisédek et Sem et essayant de faire mentir l'épître aux Hébreux ! Mais heureusement, Dieu Tout-Puissant m'a montré cette vidéo très bien expliquée et solidement documentée, qui explique que 3 témoins contredisent la version massorétique faussée : la version Septante, le Pentateuque de Samarie et les écrits de Flavius Josephe !
— De plus, afin d'introduire la doctrine de la Trinité dans la Bible, des catholiques ont subtilement introduit des petits mots dans le Nouveau Testament et aussi faussé la citation de Malachie 3, 1 quand Jésus a dit de Jean-Baptiste : «C'est celui dont il est écrit…» et ce, même dans le grec ! C'est pourquoi, ne comprenant pas un seul mot de grec, je préfère demander à l'Auteur de l'Écriture ce qu'Il a voulu dire : la prière n'est pas faite “pour les chiens” !
— Ne pouvant s'attaquer frontalement à Jésus-Christ, qui l'a chassé du Ciel, le diable cherche toujours à introduire le doute dans les paroles de Jésus-Christ inscrites dans nos Bibles !!! Vérifie !
— Sincères amitiés en Yehoshuah Ha Mashiah !
Hervé-P- Date d'inscription : 19/06/2023
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Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Ven 26 Avr 2024 - 18:48
Hervé-P a écrit:
— Et si c'est un guéridon à un seul pied, le pied principal (l'Amour) ne peut pas tenir debout sans les 3 autres qui forment trois petits pieds en étoile triangulaire !
— Beucoup ne voient pas ce fait et parlent “d'Amouououourrrr” à susciter la nausée car cet “amouououourrrrr”-là n'est PAS associé à la Justice, la Vérité et la Sainteté ! C'est donc un amour humain aussi versatile que le cœur humain, facilement influençable et prompt à changer dès la première contradiction venue !
L'Amour qui n'est pas associé à la Justice, la Vérité et la Sainteté est l'amour qui vient du monde, terrestre, charnel et diabolique (le mot même est galvaudé), tout comme peut l'être la sagesse, terrestre, charnelle et diabolique, de même que l'intelligence du monde qui est folie devant l'Eternel. Tout ce qui est humain et charnel, ce qui vient de la chair et du sang, est versatile et manipulable. Le principe de la semence et de sa récolte, le retour du boomerang : ce que chacun fait en bien aux autres, il le récolte en retour (même si ça peut prendre du temps), l'inverse est identique, et l'absence d'actes est absence d'oeuvres, sans récompense.
Garder pour modèle Jésus-Christ en toutes choses, persécuté, humilié, mis plus bas que terre et crucifié par un peuple au coeur endurci. Et Dieu l'a souverainement élevé, lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père, cette gloire qui est la sienne dans laquelle il revient chercher ceux qui lui appartiennent. HalleluYah !
En coupant la connexion avec l'Esprit de Sainteté, la Vérité et la puissance de la Vie, qui s'établit dans un coeur (demeure de l'Amour) purifié d'une mauvaise conscience préalablement, le monde demeure en connexion avec la mort par la puissance du péché dans le corps mortel, car la Justice de Dieu, c'est d'aimer son prochain comme soi-même, non pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité, de tout son coeur. L'indifférence est pire que la haine, car on peut passer de la haine à l'amour par un renversement de situation, alors que l'indifférence est apathie : absence totale d'émotion envers un être humain, pas d'émotions, pas de sentiments, un coeur mort.
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement.
Sσρhiα- Date d'inscription : 18/06/2023
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Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Hervé-P Sam 27 Avr 2024 - 9:43
— Hi, hi ! Ton image me fait penser à un avatar que j'ai adopté sur un forum d'électronique car c'est une de mes compétences :
— Car depuis enfant, j'ai toujours aimé les Amérindiens, peuple opprimé par les envahisseurs irlandais en Amérique !
— Sincères amitiés fraternelles en Yehoshuah !
— Car depuis enfant, j'ai toujours aimé les Amérindiens, peuple opprimé par les envahisseurs irlandais en Amérique !
— Sincères amitiés fraternelles en Yehoshuah !
«La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père, le Seigneur JÉSUS-CHRIST !»
(2 Corinthiens 1, 2, version de l'Épée.)
http://anjc-rvp.byethost8.com
https://anjc-rvp.legtux.org/
Hervé-P- Date d'inscription : 19/06/2023
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Localisation : Sainte-Marie (Île de la Réunion) -
Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Sam 27 Avr 2024 - 12:10
Hervé-P a écrit:
— Car depuis enfant, j'ai toujours aimé les Amérindiens, peuple opprimé par les envahisseurs irlandais en Amérique !
— Sincères amitiés fraternelles en Yehoshuah !
Un point commun, j'irai jusqu'à préciser avoir été attirée enfant par les Amérindiens et leur sagesse, leur intelligence
Le Grand Esprit qu'ils vénéraient "me" parlait intérieurement, c'est à dire m'interpellait. Le monde aurait-il régressé à un point tel ces deux derniers millénaires, tandis que ce peuple opprimé connaissait déjà la nature de Dieu, la force spirituelle universelle qu'il nommait le Grand Esprit ? D'après wikipédia : "Wakan Tanka chez les Sioux, Gitche Manitou en algonquien, et chez de nombreux Amérindiens, ce serait en raison de similitudes perçues entre le Grand Esprit et le concept chrétien de Dieu, que les missionnaires européens coloniaux ont fréquemment utilisé ces croyances existantes comme moyen d'initier les Amérindiens au christianisme et d'encourager leur conversion". Convertir un peuple converti avant eux ? Leur Dieu se trouvait confirmé par la venue de Jésus en tant qu'Emmanuel, incarnant leur Grand Esprit Sacré, leur Dieu de la Création. et le Chef Suprême : le guide spirituel."Wakȟáŋ signifiait "saint" ou ayant des aspects qui sont wakȟáŋ. L'élément Tanka ou Tȟáŋka correspond à "génial" ou "grand". Le chef Luther Standing Bear (1868-1939) de la nation Lakota exprime ainsi : "De Wakan Tanka, le Grand Esprit, est venu une grande force de vie unificatrice qui a coulé dans et à travers toutes choses - les fleurs des plaines, les vents soufflant, les rochers, les arbres, les oiseaux, les animaux - et c'était la même force qui avait été insufflée dans le premier homme. Ainsi, toutes choses étaient apparentées et réunies par le même Grand Mystère" (le même Grand Esprit). Ce peuple n'a pas eu besoin de la physique quantique mais de son intelligence et de sa sagesse seules, sa vertu, sa piété, sa révérence au sens littéral : sa vénération.
"Manitou, semblable à l'orenda iroquois, est perçu comme la force de vie spirituelle et fondamentale par les peuples algonquiens. Il est considéré par les pratiquants comme omniprésent, se manifestant dans toutes choses y compris les organismes, l'environnement et les événements induits par l'homme ou autrement. On pense également que les manifestations de Manitou sont dualistes, et de tels exemples contrastés sont connus comme aashaa monetoo (« bon esprit ») et otshee monetoo (« mauvais esprit ») respectivement". "Gitche manitou" (également translittéré en Gichi-manidoo) est un mot de la langue Ojibwé généralement interprété comme « Grand Esprit », « Créateur de toutes choses » et « Donneur de Vie », et est parfois traduit par « Grand Mystère ».
"Appeal to the Great Spirit"
Si le monde religieux cherchait à rassembler au lieu de disperser, sans bien évidemment que la Vérité de Dieu ne s'en trouve altérée, il ne pourrait que constater que le Grand Esprit des Amérindiens n'est autre que le Dieu et le Père de Jésus homme, venu sur terre le révéler. Pourquoi cela semble t'il si difficile d'intégrer pour certains que Dieu est Esprit, le Saint, l'unique Dieu et Père Céleste qui soit, le Créateur par sa Parole, alors que cela devient évidence pour d'autres, ceux qui ont eu la sagesse et l'intelligence de Le chercher ? La réponse est dans l'Evangile concernant ceux qui ne l'intègrent pas, en Romains 1:28 "Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, tant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde", et ce n'est pas sans rappeler les temps anciens, lorsque l'Eternel décida d'exterminer de la face de la terre l'homme qu'il a créé (Genèse 6).
Car c'est la volonté de Dieu que l'homme s'efforce de le chercher et de le trouver pour le connaitre, selon le discours de Paul aux athéniens, actes 17:22 et suite :
"Alors Paul, se tenant au milieu de l'aréopage, dit : Hommes athéniens, je remarque qu'en toutes choses vous êtes singulièrement religieux. Car en passant, et en regardant vos divinités, j'ai trouvé même un autel sur lequel il y a cette inscription: AU DIEU INCONNU. Celui donc que vous honorez, sans le connaître, c'est celui que je vous annonce. Le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite point dans les temples bâtis de mains d'hommes. Il n'est point servi par les mains des hommes, comme s'il avait besoin de quelque chose, lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Et il a fait d'un seul sang toutes les races des hommes, pour habiter sur toute la face de la terre, ayant déterminé la durée précise et les bornes de leur habitation; Pour chercher le Seigneur, pour voir si en le cherchant à tâtons, ils le trouveraient, quoiqu'il ne soit pas loin de chacun de nous. Car en Lui nous avons la vie, le mouvement et l'être; comme l'ont dit aussi quelques-uns de vos poètes: Car de Lui nous sommes aussi la race. Étant donc de la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l'or, ou à de l'argent, ou à de la pierre taillée par l'art et l'industrie des hommes. Mais Dieu, ayant laissé passer ces temps d'ignorance, annonce maintenant aux hommes, que tous, en tous lieux, se convertissent; Parce qu'il a fixé un jour, où il doit juger le monde avec justice, par l'Homme qu'il a établi, ce dont il a donné à tous une preuve certaine, en le ressuscitant des morts".
Ce seul discours aurait suffit aux Amérindiens pour saisir que leur Dieu, le Grand Esprit Sacré, s'était manifesté aux hommes en Jésus-Christ, l'homme qu'il a ressuscité des morts, lui-même le Créateur de toutes choses par sa Parole puissante, l'Eternel est venu lui-même en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, et c'est de plus ce dont le prophète Esaïe témoigne dans son livre. Lorsque Jésus dit, Jean 2:19, suivi de Matthieu 26:61 et de Marc 15:48 :
"Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai", il ne dit pas : et en trois jours mon Père le relèvera, mais Je le relèverai,
"Celui-ci a dit : Je puis détruire le temple de Dieu, et le rebâtir en trois jours", il n'a pas dit : mon Père peut détruire son temple et le rebâtir en trois jours, mais Je
"Nous l'avons entendu dire : Je détruirai ce temple fait de main d'homme, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme", il n'a pas dit : mon Père détruira ce temple et en trois jours il en bâtira un autre, mais Je, conformément à ses paroles : "moi et le Père, nous sommes Un". Un : le Grand et Saint Esprit dont Jésus est la Parole faite chair, ainsi confesse t'on que la Gloire de Dieu resplendit sur la face de Christ, Grand Esprit de Vérité, Esprit de Dieu.
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement.
Sσρhiα- Date d'inscription : 18/06/2023
Localisation : Normandie, France -
Re: La sagesse et l'intelligence du coeur
par Sσρhiα Lun 6 Mai 2024 - 13:28
Changer sa vision intérieure est une clé spirituelle : la sagesse de l'esprit via l' intelligence du cœur.
Le temps et l'éternité sans temps, ce temps terrestre qui n'est pas ce qu'il semble être, il ne s'écoule pas dans une seule direction, le futur s'aligne selon le présent et le passé qui a produit le présent, comme un seul, là et maintenant, ici. «Le temps est ce qui fait que tout ne se produit pas simultanément» (John Wheeler, physicien), dans l'éternité, cela se produit simultanément ? Nous ne pouvons décrire le temps que dans un sens relatif : quelque chose est arrivé, arrive et arrivera, nous «mesurons» le temps. Einstein supposait que le temps et l'espace sont intimement liés donc le temps est accessible dans l'espace, comme formant une sphère située au delà de notre expérience tridimensionnelle, qu'il appelait la 4ème dimension (sphère que nous nommons maintenant Matrice). Et si elle était tout simplement là et non au delà, invisible mais liée, autant que le sont le corps physique visible et le corps spirituel invisible (même si certains ne le perçoivent pas). Si la distinction entre le passé, le présent et le futur se font dans la 3ème dimension, le passé et le futur sont présents dans la supérieure comme étant le présent, nous pouvons donc communiquer avec eux.
C'est toute la portée et la puissance de la foi et de l'amour, pardonner les erreurs du passé qui change alors (sa perception est transformée) devenant beau (dans le sens «il fallait qu'il en soit ainsi», l'acceptation comme une digestion bien passée), ici, maintenant, présent sans regrets ni amertume (sans mensonge à soi-même et sans apitoiement sur soi), et rendre présent le futur : ce qui est déjà là, présent ici et maintenant. Si je le crois fermement, avec pleine conviction, avec sagesse et intelligence (car si je crois que le Père Noël existe, je ne vais pas le faire apparaître, il n'a pas la vie), mais si je crois en quelque chose de véritable, qui existe, qui est Vie, présent et permanent, tout devient possible à celui qui croit dans le Véritable, l'existant, le «Je suis», le Nom de la grande famille, la postérité, les enfants, les «je suis», les existants, venus à la Vie (éternelle), mais en vérité revenus car un retour (image du premier Adam et du dernier Adam, transformation).
Dans la Genèse, il y avait deux arbres au milieu du jardin en Eden, l'arbre de vie et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Manger l'arbre de vie, c'était manger le fruit de l'Esprit (Dieu) et pouvoir vivre éternellement, mais manger de l'arbre de la connaissance, c'était manger le fruit de la conscience ainsi entrer dans la connaissance du bien et du mal, une conscience morale mais sans savoir encore distinguer le bien du mal puisque sans connaissance de la vérité, ayant cru au contraire au mensonge de la tentation comme étant une vérité. Sans consommation du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, sans cette ouverture à la connaissance, l'homme n'avait pas même conscience qu'il était nu ainsi ne pouvait-il pas en éprouver de honte, il ne se voyait pas, comme un animal ne se voit pas. Dieu avait dit vous n'en mangerez pas «de peur que vous ne mouriez», ils n'ont éprouvé de peur ni l'un ni l'autre, ils n'ont pas craint la Parole de Dieu, et ont consommé. La connaissance du bien et du mal s'acquiert, la femme vit (elle saisit en esprit) que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence (présente mais non ouverte). Quelle tentation, comment résister si l'intelligence permet d'être comme les dieux, connaissant le bien et le mal ? On ne résiste pas à ce qui prime sur toutes autres choses par amour, attraction faisant, mais la Parole de Dieu n'a pas primé sur la tentation d'alors. Lorsque les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, dépourvus d'intelligence (vision spirituelle intérieure, la véritable, celle qui vient du cœur et non de la raison), alors ils se firent des ceintures, ils se sont ceints les reins avec des feuilles de figuier.
L'homme est souvent comparé à un arbre qui se doit de porter du fruit et du bon, pas du mauvais, on ne cueille pas des chardons sur un figuier, Luc 12:34 «Car là où est votre trésor, là aussi sera votre coeur. Que vos reins soient ceints, et vos lampes allumées», Jésus ne parle pas d'une lampe extérieure mais intérieure, d'avoir à ses reins la vérité pour ceinture (la Parole de Dieu, son avertissement, était la vérité), d'allumer sa lampe : prendre conscience selon l'esprit mais dénué de convoitise, par lui, on ouvre l'intelligence du cœur, on se fait un cœur nouveau, on cesse de vivre de raisonnements visant un intérêt égocentrique, on redevient spontanés comme les petits enfants, authentiques, sans hypocrisie ni duplicité, qui disent la vérité, sans prendre d'apparences pour la déguiser, parlant avec vérité : tel quel.
Chacun vit dans son propre monde intérieur (haut, esprit, ou bas, sous la ceinture), qu'il fait évoluer (lumière) ou régresser (ténèbres), il n'y a donc pas lieu de créer de guerres des mondes, bataillant les uns contre les autres, mais plutôt de s'intéresser réciproquement aux mondes les uns des autres, savoir écouter, garder ce qui est bon, l'univers est vaste et varié, la variation des uns peut contribuer à changer la vision intérieure des autres. Chez la plupart de ceux qui cherchent le sens de la vie, un retournement intérieur se produit lorsque l'esprit est bien disposé, bien «tourné», éclairé : prise de conscience, retour à soi intérieurement, à ce que nous sommes, esprit, ainsi retour à la vie selon l'esprit suivant l'Esprit, qui n'abandonne pas sa personne (le corps de chair et de sang) mais qui sait désormais qu'elle lui sera soumise, comme un véhicule est soumis à celui qui le conduit. La vie (âme) devient donc lumière, en paix et en joie, l'âme se réjouit d'avoir retrouvé le bon sens, le chemin du retour, d'être retournée à l'éternel, l'esprit, dans l'Esprit (sa Matrice) qu'elle avait quitté, égarée par des passions et des désirs terrestres. C'est le retour au Père (l'Eternel) et à la Mère (Jérusalem, la céleste), par le Fils, et c'est ce que produit la conversion à Dieu, une métanoïa, terme grec μετάνοια composé de la préposition μετά (ce qui dépasse, englobe, met au-dessus) et du verbe νοέω (percevoir, penser), et signifie « changement de vue » ou « changement de regard », qui voit la pensée et l’action se transformer de façon importante, voire décisive, "une transformation de la psyché, sa guérison initiée par des forces inconscientes" selon C. Jung, une transformation complète de la personne qui ressemble beaucoup à celle qui se passe à l’intérieur d’une chrysalide, lorsque le papillon apparaît est comparable à la naissance de nouveau, un enfant est né, une nouvelle créature.
Le temps et l'éternité sans temps, ce temps terrestre qui n'est pas ce qu'il semble être, il ne s'écoule pas dans une seule direction, le futur s'aligne selon le présent et le passé qui a produit le présent, comme un seul, là et maintenant, ici. «Le temps est ce qui fait que tout ne se produit pas simultanément» (John Wheeler, physicien), dans l'éternité, cela se produit simultanément ? Nous ne pouvons décrire le temps que dans un sens relatif : quelque chose est arrivé, arrive et arrivera, nous «mesurons» le temps. Einstein supposait que le temps et l'espace sont intimement liés donc le temps est accessible dans l'espace, comme formant une sphère située au delà de notre expérience tridimensionnelle, qu'il appelait la 4ème dimension (sphère que nous nommons maintenant Matrice). Et si elle était tout simplement là et non au delà, invisible mais liée, autant que le sont le corps physique visible et le corps spirituel invisible (même si certains ne le perçoivent pas). Si la distinction entre le passé, le présent et le futur se font dans la 3ème dimension, le passé et le futur sont présents dans la supérieure comme étant le présent, nous pouvons donc communiquer avec eux.
C'est toute la portée et la puissance de la foi et de l'amour, pardonner les erreurs du passé qui change alors (sa perception est transformée) devenant beau (dans le sens «il fallait qu'il en soit ainsi», l'acceptation comme une digestion bien passée), ici, maintenant, présent sans regrets ni amertume (sans mensonge à soi-même et sans apitoiement sur soi), et rendre présent le futur : ce qui est déjà là, présent ici et maintenant. Si je le crois fermement, avec pleine conviction, avec sagesse et intelligence (car si je crois que le Père Noël existe, je ne vais pas le faire apparaître, il n'a pas la vie), mais si je crois en quelque chose de véritable, qui existe, qui est Vie, présent et permanent, tout devient possible à celui qui croit dans le Véritable, l'existant, le «Je suis», le Nom de la grande famille, la postérité, les enfants, les «je suis», les existants, venus à la Vie (éternelle), mais en vérité revenus car un retour (image du premier Adam et du dernier Adam, transformation).
Dans la Genèse, il y avait deux arbres au milieu du jardin en Eden, l'arbre de vie et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Manger l'arbre de vie, c'était manger le fruit de l'Esprit (Dieu) et pouvoir vivre éternellement, mais manger de l'arbre de la connaissance, c'était manger le fruit de la conscience ainsi entrer dans la connaissance du bien et du mal, une conscience morale mais sans savoir encore distinguer le bien du mal puisque sans connaissance de la vérité, ayant cru au contraire au mensonge de la tentation comme étant une vérité. Sans consommation du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, sans cette ouverture à la connaissance, l'homme n'avait pas même conscience qu'il était nu ainsi ne pouvait-il pas en éprouver de honte, il ne se voyait pas, comme un animal ne se voit pas. Dieu avait dit vous n'en mangerez pas «de peur que vous ne mouriez», ils n'ont éprouvé de peur ni l'un ni l'autre, ils n'ont pas craint la Parole de Dieu, et ont consommé. La connaissance du bien et du mal s'acquiert, la femme vit (elle saisit en esprit) que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence (présente mais non ouverte). Quelle tentation, comment résister si l'intelligence permet d'être comme les dieux, connaissant le bien et le mal ? On ne résiste pas à ce qui prime sur toutes autres choses par amour, attraction faisant, mais la Parole de Dieu n'a pas primé sur la tentation d'alors. Lorsque les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, dépourvus d'intelligence (vision spirituelle intérieure, la véritable, celle qui vient du cœur et non de la raison), alors ils se firent des ceintures, ils se sont ceints les reins avec des feuilles de figuier.
L'homme est souvent comparé à un arbre qui se doit de porter du fruit et du bon, pas du mauvais, on ne cueille pas des chardons sur un figuier, Luc 12:34 «Car là où est votre trésor, là aussi sera votre coeur. Que vos reins soient ceints, et vos lampes allumées», Jésus ne parle pas d'une lampe extérieure mais intérieure, d'avoir à ses reins la vérité pour ceinture (la Parole de Dieu, son avertissement, était la vérité), d'allumer sa lampe : prendre conscience selon l'esprit mais dénué de convoitise, par lui, on ouvre l'intelligence du cœur, on se fait un cœur nouveau, on cesse de vivre de raisonnements visant un intérêt égocentrique, on redevient spontanés comme les petits enfants, authentiques, sans hypocrisie ni duplicité, qui disent la vérité, sans prendre d'apparences pour la déguiser, parlant avec vérité : tel quel.
Chacun vit dans son propre monde intérieur (haut, esprit, ou bas, sous la ceinture), qu'il fait évoluer (lumière) ou régresser (ténèbres), il n'y a donc pas lieu de créer de guerres des mondes, bataillant les uns contre les autres, mais plutôt de s'intéresser réciproquement aux mondes les uns des autres, savoir écouter, garder ce qui est bon, l'univers est vaste et varié, la variation des uns peut contribuer à changer la vision intérieure des autres. Chez la plupart de ceux qui cherchent le sens de la vie, un retournement intérieur se produit lorsque l'esprit est bien disposé, bien «tourné», éclairé : prise de conscience, retour à soi intérieurement, à ce que nous sommes, esprit, ainsi retour à la vie selon l'esprit suivant l'Esprit, qui n'abandonne pas sa personne (le corps de chair et de sang) mais qui sait désormais qu'elle lui sera soumise, comme un véhicule est soumis à celui qui le conduit. La vie (âme) devient donc lumière, en paix et en joie, l'âme se réjouit d'avoir retrouvé le bon sens, le chemin du retour, d'être retournée à l'éternel, l'esprit, dans l'Esprit (sa Matrice) qu'elle avait quitté, égarée par des passions et des désirs terrestres. C'est le retour au Père (l'Eternel) et à la Mère (Jérusalem, la céleste), par le Fils, et c'est ce que produit la conversion à Dieu, une métanoïa, terme grec μετάνοια composé de la préposition μετά (ce qui dépasse, englobe, met au-dessus) et du verbe νοέω (percevoir, penser), et signifie « changement de vue » ou « changement de regard », qui voit la pensée et l’action se transformer de façon importante, voire décisive, "une transformation de la psyché, sa guérison initiée par des forces inconscientes" selon C. Jung, une transformation complète de la personne qui ressemble beaucoup à celle qui se passe à l’intérieur d’une chrysalide, lorsque le papillon apparaît est comparable à la naissance de nouveau, un enfant est né, une nouvelle créature.
Christianisme libre, non liée à une religion ou dénomination terrestre. Liée en Christ Jésus qui m'a affranchie, membre vivant selon l'Esprit de son Eglise, le Temple céleste de Dieu, son Royaume. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple de son Saint Esprit. Gloire au Père dans le Fils éternellement.
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